
(Paris, métro, juin 2024)
Ils ont chamboulé ma maison, déplacé les meubles et changé mes habitudes, mais là-bas, c'est encore chez moi ...
@Daniel: Oh que oui !
@Patrick: Elle niche dans bien des coins probablement ... L'effet focus : tu prends en photos des dormeurs, et tu as l'impression que (presque) tout le monde dort dans ce contexte-là (Et ça marche dans tous les domaines !)
@Yves: Probable ... et peut-être ;-) ...
@Steed: Ouiiiiii ! ... Je sais que tu affectionnes particulièrement les cadres. Oui, un instant dans la vie d'autrui, en faisant montre de tendresse pour tous ces anonymes. *Merci*beaucoup* !
@Jack: ;-) ...
@Roland: Merci Roland.
@trublion: Remarque lexicale judicieuse, et qui m'a donné envie d'aller y voir de plus près, sans que l'explication en soit si évidente que ça : L'expression remonterait au début du 20e et relèverait au départ du domaine de l'aviation. Les aviateurs avaient l'habitude de dire ça quand lors d'un vol ils perdaient de l'altitude, à cause des turbulences provenant de trous d'air. L'appareil subissait alors un brusque mouvement vers le bas, comme le fait une pompe [ouais, bof !] Soit, du coup, l'image de gens qui perdent du tonus (comme de l'altitude). Perso, c'est un comble pour moi, je ne m'étais même pas posé de question sur cette expression-là. Merci. Bonne journée. Amitié.
@jpla: Merci.
@Giulio: Oui ... Merci.
@Jean-Luc.M: C'est pas faux !! ;-D Merci !
@Elaine Hancock: Thank you very much, Elaine.
@Roger Dekert: Merci. C'est vrai que ça peut arriver ! ;-D